Photos de la semaine (#24) – YES photographies - nu en Clair-obscur & mémoire des origines tribales
- Yohann Elhadad
- il y a 5 jours
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : il y a 5 jours

Photographies de nu en clair-obscur & mémoire des origines tribales – Le corps comme langage
Cette semaine dans les Photos de la semaine – YES Photographies (#24), je vous propose un double voyage à travers le corps : d’un côté, une série de nus en clair-obscur, où la lumière sculpte le silence ; de l’autre, un hommage au féminin tribal et primitif, entre terre, peau et symboles anciens.
Deux univers, deux vibrations : l’un dessine l’ombre, l’autre bat au rythme de l’instinct.
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Nu en clair-obscur
Comme une peinture ancienne, cette série explore la photo artistique féminine à travers le contraste pur de la lumière et de l’ombre.Chaque courbe y devient suggestion, chaque geste, silence.Le nu artistique n’est pas ici dévoilement mais effleurement visuel, presque chuchoté.J’ai cherché une esthétique proche des maîtres du clair-obscur, jouant avec la lumière picturale, pour révéler ce que le regard ne dit pas toujours : la présence, simple et bouleversante.
🎨 Un hommage à une tradition artistique séculaire
Le clair-obscur est une technique picturale née à la Renaissance, sublimée par des maîtres comme Caravage, Rembrandt ou Georges de La Tour. Elle repose sur le contraste entre lumière intense et zones d’ombre profonde pour donner volume, émotion et tension dramatique aux sujets. Dans cette série, j’ai voulu m’inscrire dans cette lignée, en transposant cette tradition dans la photo artistique féminine, pour révéler le corps non pas dans son apparence, mais dans sa profondeur symbolique et sensorielle.
Tribal, primitif, vivant
Cette deuxième série rend hommage à la mémoire corporelle, à l’esprit des rituels anciens et à une forme de féminin sacré.Peaux peintes, terre, cendres, plumes, racines…Chaque élément raconte une histoire, une origine.Le corps devient parole : il danse, invoque, se souvient.Inspirée par les archétypes féminins, cette série de photo fantasy et onirique explore un lien oublié entre le corps, la nature et le mystère.
Entre sculpture d’ombre et appel tribal
J’ai voulu, cette semaine, explorer deux formes de force :🔹 Celle qui se cache dans la retenue, la lumière qui caresse sans dire.🔹 Et celle qui s’exprime dans l’instinct, brute et libre, sans apprêt.L’une murmure, l’autre crie. L’une apaise, l’autre bouscule.Mais toutes deux racontent la même chose : le corps comme lieu de passage, entre temps, mémoire et vision.
Bonne semaine à tous,
Yohann Elhadad - photographe de Yes Photographies - Photographies de nu en clair-obscur & mémoire des origines tribales
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